Déclaration des parents de la patiente :

“Nous, soussignés, …. résidents à Busto Arsizio (Va), respectivement frères et belle-sœur de …. résidente à Busto Arsizio et patiente du Dr Tullio Simoncini, témoignons par la présente sur le développement de la maladie de la patiente sus-mentionnée, ayant suivi en détail toutes ses phases, à commencer par les premiers jours de septembre 2002 jusqu’à aujourd’hui.

Le 12 septembre dernier …. fut hospitalisée en urgence dans la division gynécologique de l’Azienda Ospedaliera de …. La présence d’une néoplasie utérine fut certifiée après examen approprié aussi bien que par la pratique d’une tomodensitométrie axiale de l’abdomen. En raison de ses dimensions, la néoplasie comprimait à la fois le tractus urinaire et l’intestin et causait en même temps un blocage rénal et intestinal.
Le blocage rénal a été rectifié par application d’un appareil néphrostomique bilatéral et le blocage intestinal a été rectifié par des énémas occasionnels. Le médecin chef du département, sur la base du rapport de tomodensitométrie axiale, appela les parents de la patiente et leur dit clairement et ouvertement que sa condition était totalement désespérée parce qu’elle était porteuse d’une tumeur utérine qui était si développée qu’il n’était pas possible de l’opérer. La seule possibilité qui lui restait alors était de tenter une radiothérapie ou une chimiothérapie pour réduire les masses tumorales de sorte que l’on puisse les opérer, mais c’était là une possibilité si lointaine qu’elle se réduisait à presque rien.
Les jours suivants, les résultats des examens histologiques et l’opinion des spécialistes quant aux effets dévastateurs que la thérapie par les radiations ou les inoculations chimiothérapeutiques auraient eu sur le corps déjà fragile de cette femme, dont le poids était de seulement 32 kg, conduisit l’équipe du département à abandonner toute tentative de sauver la patiente.
Seul le docteur en chef ouvrit la possibilité d’une chimiothérapie pour prolonger la vie de la patiente – peut-être de quelques semaines mais certainement pas des mois. Son espérance de vie à ce moment-là (à la mi-septembre) était d’environ deux mois.

Cependant, si la chimiothérapie avait un certain effet, … aurait pu survivre jusqu’à Noël. A ce moment-là, les soussignés allèrent au Centre tumoral de … avec toute la documentation clinique disponible et sans la patiente, parce qu’elle ne pouvait pas être déplacée, pour entendre l’opinion d’un centre qui était hautement qualifié dans ce domaine. Le docteur qui examina les scans exprima la conviction que cette tumeur avait au moins cinq ans et exprima son accord avec les déclarations prononcées par les docteurs de l’hôpital de Busto Arsizio.
Pour rendre le départ de cette dame aussi confortable que possible (des blocages rénaux et intestinaux était prévus et également le vomissement des selles, etc.) l’usage des thérapies traditionnelles n’était pas recommandé et la seule thérapie proposée fut celle du contrôle de la douleur.
Après l’opinion du Centre tumoral, le docteur en chef de l’hôpital de Busto Arsizio, confirmé dans ses convictions et considérant l’inutilité de l’hospitalisation, libéra la patiente. Cependant, une aggravation soudaine de la condition de … força une deuxième hospitalisation et il semblait que la fin était proche.
Alors que cette deuxième hospitalisation était en cours, comme ils n’étaient pas résignés à la destinée de leur sœur, ses frères continuèrent à rechercher une alternative qui pourrait leur donner un certain espoir. Ce fut à ce moment-là, que, par l’expérience directe de certaines connaissances, ils entendirent parler de la thérapie du Dr Tullio Simoncini.

Un contact téléphonique immédiat fut pris avec le docteur et la situation clinique de .. lui fut expliquée. Il offrit la possibilité d’expérimenter sa thérapie. La décision de tenter cette nouvelle route trouva une approbation immédiate à la fois chez la patiente (qui à diverses occasions avait déjà exprimé à la fois aux docteurs et à sa famille sa volonté de ne passer ni par des interventions chirurgicales ni par des traitements radio ou chimiothérapeutiques) et chez ses parents. Entre temps, l’hôpital ne voyait aucune raison de garder cette patiente plus longtemps, bien que la masse tumorale eût énormément grossi (l’abdomen de la patiente était aussi gonflé que celui d’une femme enceinte). La patiente fut confiée au service des soins palliatifs, qui opta pour un traitement à domicile car il convenait mieux à ses inclinations.
Le 21 octobre 2002, cette dame fut finalement libérée par l’hôpital de Busto Arsizio. Le 25e jour du même mois, le Dr Simoncini vint à la maison de ….. Grâce aux documents de tomodensitométrie axiale, il comprit immédiatement que l’énorme masse tumorale était remplie d’un liquide qui devait être évacué immédiatement. Et c’est ce qui fait qu’un litre de liquide putride sortit de l’abdomen.
Ce qui était arrivé, c’était qu’un abcès s’était formé en haut de la masse tumorale. Cet abcès était probablement à l’origine de l’infection massive en progression, ce que la forte température du corps démontrait. Après l’intervention, la patiente éprouva un sentiment de vide et de faiblesse, mais elle se normalisa graduellement.


La tumeur s’était vidée de son contenu putride et à la place une certaine quantité de bicarbonate de sodium fut injectée par un cathéter permanent. Le Dr Simoncini prit un soin scrupuleux à montrer aux parents la procédure thérapeutique à suivre. Il disait que nous ne devions pas avoir d’illusions à propos de l’efficacité de la thérapie. Il ne serait pas nécessaire d’attendre plusieurs jours pour voir comment la patiente y répondrait. De nombreuses variables agissaient contre la patiente, parmi lesquelles l’état avancé de la maladie et la capacité de réaction irrégulière de cette personne.

Le docteur déclara que, d’après ses statistiques, quand l’action du bicarbonate est positive dès le début, son efficacité continuera jusqu’à la fin, c’est-à-dire que dans les cas où la réponse est positive, le problème peut être résolu en trois ou quatre mois et parfois même moins. Inversement, si le bicarbonate devait se révéler inefficace dès le début, il serait inefficace par la suite. Il était de ce fait convenable d’avoir de l’espoir, sans cependant, avoir des attentes excessives de rétablissement. De toute façon, étant donné la condition de …., une situation équivalente à une condamnation à mort, selon ses parents et la patiente elle-même, il n’y avait rien à perdre à tenter cette nouvelle route.

Après l’intervention, car un cathéter abdominal avait été ajouté aux deux appareils néphrostomiques, et que cela accroissait donc le danger d’infection – le Dr Simoncini prescrivit trois flacons d’antibiotiques à injecter intramusculairement. Le bicarbonate de sodium fut aussi prescrit en douches vaginales de sorte que l’action de la tumeur fut circonscrite autant que possible. Le docteur revint à Rome après s’être assuré qu’il avait tout expliqué avec le maximum de clarté et après avoir confirmé sa disponibilité pour d’autres clarifications et interventions.
Le jour suivant, la patiente s’améliorait déjà et cela fut confirmé par le docteur de famille pendant sa visite. Comme les jours passaient, les améliorations devinrent de plus en plus évidentes et comme la fièvre diminuait rapidement et finalement disparut, il n’y eut plus besoin d’autres antibiotiques que ceux qui avait été prescrits par le Dr Simoncini. Entre temps , … avait à nouveau ressenti le besoin d’uriner naturellement en même temps que l’évacuation intestinale revenait à la normale et régulièrement. C’était là des signes clairs que la pression exercée par la masse tumorale sur les urètres et l’intestin diminuait. La confirmation arriva un mois après quand une tomodensitométrie fut réalisée par l’hôpital de Busto Arsizio. Le scan montra que la masse tumorale avait considérablement réduit.
Les docteurs de l’hôpital proposèrent à nouveau la chimiothérapie à ce stade, mais … refusa clairement d’entreprendre un tel traitement. Le Dr Simoncini, conforté par les résultats excellents déjà obtenus et respectant la volonté de la patiente, entreprit de procéder à une intervention plus ciblée dans le but de nier à la tumeur toute possibilité d’expansion. Cette entreprise reçut le plein accord de la patiente et de la famille.
Le 14 décembre 2002, la patiente rendit visite au Dr Simoncini à Rome. Deux cathéters furent appliqués, l’un artériel, l’autre péritonéal – grâce auxquels elle continue sa thérapie à ce jour. Après les vacances de Noël, … eut la joie de se voir enlever les deux appareils néphrostomiques et elle commença à uriner par l’urètre, même si pour le moment les urètres était aidés par des doubles J qui avaient été mis en position par le Dr Simoncini pendant sa deuxième visite à Rome. Après cette dernière intervention, la qualité de vie de … s’est notablement améliorée : elle marche et prend sa voiture d’une manière complètement autonome, sa bonne humeur est revenue et elle soutient activement et divulgue la thérapie du Dr Simoncini à des amis et connaissances.
La nouvelle d’une investigation judiciaire entreprise contre le docteur qui lui avait redonné vie et sérénité nous surprit immensément. Ceux qui soussignent cette déclaration étaient résignés et prêts à faire face à la mort de leur sœur, mais ce n’est pas pour cela qu’ils auraient déclaré que les docteurs de l’hôpital étaient des meurtriers car ils avaient agi de bonne foi pour son meilleur intérêt avec les instruments thérapeutiques que leur école de médecine avait mis à leur disposition. Au contraire, la théorie du Dr Simoncini a produit une thérapie capable de ramener … de la mort à la vie, du désespoir à l’espoir et à la confiance, des larmes aux sourires.
Peut-on qualifier cela de fraude ?

En dépit de ces résultats, qui sont déjà en eux-mêmes formidables et qui méritent la plus grande gratitude, nous savons que le cancer est un ennemi horrible et implacable et qu’ainsi il pourrait finalement l’emporter sur notre sœur. Même si c’est le cas, pourrons-nous qualifier d’homicide celui qui a été autant qu’il a pu le sauveur de sa patiente ? Les soussignés déclarent être capables de confirmer, à la demande, le contenu de ce qui a été déclaré ci-dessus sous la forme appropriée et spécifient qu’ils auraient préféré ne pas impliquer la patiente directement de sorte à ne pas lui donner davantage de stress psychologique à un moment aussi délicat.
Busto Arsizio, 9 février 2003
Ci-joint des photocopies des documents d’identification

Les améliorations étaient donc évidentes. Cependant, une tomodensitométrie axiale de juin 2003, bien que soulignant la régression constante de la masse tumorale principale, révéla que dans des aires anatomiques qui n’avaient pas été traitées auparavant – le foie et la lésion de l’iléopsoas – la maladie tendait à progresser rapidement et cela conduisit la patiente à la mort à la fin de cette année-là.


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